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Le 29 janvier 2005 :
Sochaux - Stade Auguste-Bonal
Temps très froid, pelouse gelée
11 912 spectateurs, Arbitre : M. Thual
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SOCHAUX - NICE.........................0-0
6 avertissements :
- Sochaux : Pitau (42), Ménez (44).
- Nice : Jarjat (57 et 90+2), Jankauskas (77), Larbi (78).
1 expulsion :
- Nice : Jarjat (90+2, second carton jaune pour une charge par derrière sur Zaïri).
Les équipes :
- Sochaux : Richert (5) - Tall (6), So. Diawara (5,5), Monsoreau (6), Mathieu (non noté) (Potillon, 44ème) (5,5) - Boudarène (5,5), Pitau (6,5), Zaïri (5,5), Isabey (cap.) (5) - Ménez (4,5), Santos (5). Entraîneur : Guy Lacombe.
- Nice : Grégorini (cap.) (7) - Grenet (5), S. Traoré (6,5), Varrault (6), Jarjat (3,5) - Abardonado (5) - Jankauskas (4), Balmont (6,5), Bisconti (5,5) (Bigné, 90ème), Vahirua (4,5) (Dié, 84ème) - Agali (3,5) (Larbi, 75ème). Entraîneur : Gernot Rohr.
Réactions d'après-match :
- Guy Lacombe (entraîneur de Sochaux) : "Si une équipe méritait de l'emporter, c'était bien Sochaux. Nous nous sommes créées quatre occasions nettes, avec une barre et un poteau. Je n'ai pas grand-chose à reprocher à mes joueurs, si ce n'est un manque de "grinta" dans la surface de réparation. Ceci dit, Nice a mérité son point sur un terrain qui favorisait surtout l'équipe qui défendait. Maintenant, nous restons sur une série de 7 points en trois matches. Une série pour laquelle on aurait signé tout de suite, voici quelques semaines. Dans l'immédiat, il était important d'avoir au plus vite ces 34 points dans ce championnat très difficile."
- Gernot Rohr (entraîneur de Nice) : "Comme l'an passé, on a réussi à prendre un point à Sochaux. Pour cela, il a fallu beaucoup de solidarité et de rigueur, mais aussi un grand gardien comme Grégorini. C'est vraiment un bon point, comme c'était déjà le cas face à Lille. Bien sûr, un tel terrain favorisait surtout l'équipe qui défendait et Sochaux nous a mis en difficulté en seconde période. Pour nous, l'objectif reste avant tout le maintien. Quant au centième match comme entraîneur de mon équipe, que je vivais tout comme Guy Lacombe ce soir, nous n'en n'avons même pas parlé à la fin du match."
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