8ème Journée 2003/2004


Le 27 septembre 2003 :

Bastia - Stade de Furiani
Temps doux, pelouse en mauvais état
5 844 spectateurs, Arbitre : M. Thual

BASTIA - SOCHAUX.........................2-0

Les buteurs :
  • Bastia : Hadji (7), Flachez (21, c.s.c.).

5 avertissements :
  • Bastia : Saveljic (19), Vanney (31), Piocelle (45+1), Maurice (75).
  • Sochaux : Paisley (20).

Les équipes :
  • Bastia : Penneteau (6) - Chimbonda (5), Saveljic (5,5), An. Yahia (5), Vanney (4) - Hadji (5), Cauet (5,5) (Matingou, 78ème), Piocelle (5,5), Battles (cap.) (6,5) - Née (5,5) (Ben Saada, 83ème), Maurice (6) (Gourvennec, 86ème). Entraîneur : Gérard Gili.
  • Sochaux : Richert (6) - Raschke (4), So. Diawara (5), Flachez (4,5), Monsoreau (4,5), Paisley (non noté) (Mathieu, 37ème) (5) - Oruma (5,5), Pedretti (cap.) (6,5), Isabey (4) (Lonfat, 77ème) - Zaïri (5), Pagis (5) (Trapasso, 64ème). Entraîneur : Guy Lacombe.

Les buts :
  • 7ème (1-0) : Sur un corner tiré côté droit par Battles, Hadji, au premier poteau, se défait du marquage de Raschke et dévie le ballon de la tête ; ce dernier se loge dans la lucarne gauche de Richert.
  • 21ème (2-0) : Coup franc sifflé par M. Thual suite à une faute de Paisley sur Chimbonda à 20 mètres du but sochalien côté droit. Battles le tire sur la tête de Saveljic qui ne peut qu'effleurer le ballon. Ce dernier termine sa course sur le pied droit de Flachez qui marque contre son camp.

Réactions d'après-match :
  • Gérard Gili (entraîneur de Bastia) : "Je félicite mes joueurs car ils ont battu une très bone équipe, qui ne joue pas l'Europe pour rien. Il leur a fallu beaucoup de courage et d'abnégation. Ce soir, nous avions retrouvé l'agressivité qui nous avait fait défaut à Auxerre la semaine dernière (défaite 1-4)."
  • Guy Lacombe (entraîneur de Sochaux) : "Ce soir, on peut regretter les 15 premières minutes où nous ne sommes pas là, surtout sur les coups de pieds arrêtés qui sont le point fort de Bastia. Si on avait tenu vingt minutes, ce n'aurait plus été pareil. Les Bastiais voulaient ce match, indéniablement ils le voulaient plus que nous..."